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Pascal Loubet

    Chroniques de San Francisco - 4: Babycakes
    Level 26: Dunkle Prophezeiung
    Level 26: dark origins
    • Strafverfolgungsbehörden teilen Mörder in verschiedene Kategorien der Bösartigkeit ein, angefangen bei Zufallstätern der Stufe 1 bis hin zu Folterern und Schlächtern der Stufe 25, deren Grausamkeit und Perversität sich dem normalen Begriffsvermögen entziehen. Kaum jemand weiß, dass eine neue Kategorie entstanden ist, eine unvorstellbare und bisher unbekannte Dimension des Schreckens. Und nur jene namenlose Elitetruppe von Männern und Frauen, die in keiner offiziellen Akte geführt wird und deren Aufgabe es ist, die gefährlichsten Killer und Psychopathen der Welt auszuschalten, weiß von dieser neuen Kategorie. Eine Kategorie, in die bislang erst eine Person gehört. Seine Opfer: Jeder Seine Methoden: Alles, was ihm geeignet erscheint Sein Alias: Sqweegel Seine Einstufung: Level 26 Jedem Leser stehen audiovisuelle Inhalte und Hintergründe im Internet zur Verfügung. LESEN Sie das Buch. SEHEN Sie die Filme im Web. ERFAHREN Sie die ganze Dimension des Schreckens.

      Level 26: dark origins
    • Steve Dark ist Experte im Aufspüren von Serienkillern. Seit kurzem hat er den Dienst wegen psychischer Probleme quittiert. Doch nun treibt ein neuer Täter sein Unwesen im Land. Er tötet die Opfer nach bekannten Tarot-Motiven. Dark erkennt, dass die offiziellen Ermittler dem Killer nicht gewachsen sind, und will selbst eingreifen. Da tritt eine mysteriöse Frau an ihn heran. Ihr Angebot: Unbegrenzte Mittel, solange Dark exklusiv für sie Serienkiller jagt. Ohne die Grenzen von Justiz und Moral -

      Level 26: Dunkle Prophezeiung
    • Début des années quatre-vingt, Reagan dirige l'Amérique, hésitant entre conservatisme pur et dur et saut en avant technologique. Les Yuppies dopés sont des acharnés du travail, les gays californiens sont à la pointe du combat pour l'évolution des mœurs et des mentalités et le sida commence à frapper les corps et les esprits. C'est ce moment que choisit la reine Elisabeth II pour effectuer sa première visite à San Francisco. Un symbole à elle seule, la reine d'Angleterre ! Représentante de la vieille Europe, des traditions et d'un certain art de vivre. En décalage complet avec celui des avant-gardistes californiens. Mais c'est justement ce côté kitsch qui leur plaît. Son côté bonne vieille mamie ! Comme Mme Madrigal, la logeuse de la petite résidence communautaire de Barbary Lane. Une grand-mère qui aurait été de tous les combats des années passées, qui cultive de magnifiques plants d'herbe dans son jardin et qui avant son opération était un homme. Il y a aussi Brian qui rêve d'enfants et d'une vie d'homme au foyer, sa femme Mary Ann, journaliste prête à tout pour assumer à la fois sa vie professionnelle et sentimentale et enfin Michael qui vient de perdre son amour, victime du sida. Et puis, il y a le bonheur du hasard qui parfois fait bien les choses, l'humour et la fantaisie romanesque de Maupin qui sauve ses personnages d'un vaudeville qui aurait pu être dramatique. C'est toute la force de ses chroniques de raconter une époque en l'imaginant souvent plus belle que la réalité mais en misant sans compter sur l'amour et la solidarité.

      Chroniques de San Francisco - 4: Babycakes