The novel presents the life of an independent young woman in a Victorian context, challenging societal norms regarding female ambition and passion. Critics initially deemed it improper and violent, yet its success as a rare bildungsroman for women in the early nineteenth century is notable. Brontë skillfully navigates her own views on women's roles while addressing contemporary expectations, provoking curiosity and discussion among readers. This duality in perspective contributes to the enduring impact and relevance of the story.
Seminar paper de l’année 2011 dans le domaine Orientalisme / Sinologie - Arabe, 16/20, Université Catholique de Louvain, Français, résumé: L’objet de ce travail se focalisera sur Ibn Khaldūn, célébrissime historien, et le confrontera à l’astrologie, science qui prétend déterminer le temps et qui a toujours fait couler beaucoup d’encre, notamment en littérature arabe. Dans ce domaine, on peut d’ailleurs dégager trois approches : (1) les auteurs qui admettent la magie et l’acceptent , (2) les auteurs qui l’admettent et la condamnent , et finalement, (3) les auteurs qui la réfutent totalement. Nous tenterons de démontrer pourquoi Ibn Khaldūn fait parti de cette dernière catégorie, à l’aide de passages consacrés à l’astrologie dans sa fameuse Muqaddimat.Avant d’entrer dans le vif du sujet, il convient de situer correctement le contexte et les concepts utiles à ce travail. Dans cette optique, la première partie fera donc brièvement le point sur Ibn Khaldūn, sa Muqaddimat, en s’attardant sur le parcours historique de cette dernière, et enfin, l’astrologie arabe. La seconde section, quant à elle, sera plus directement orientée vers notre problématique puisqu’elle décrira l’astrologie telle qu’elle transparaît dans la Muqaddimat. De ces quelques recherches, nous tirerons finalement des conclusions.
