Biographischer Roman über die leidenschaftliche Liebesbeziehung Virginia Woolfs (1882-1941) zu der exzentrischen Aristokratin und Schriftstellerin Vita Sackville-West (1892-1962).
Christine Orban Bücher
Christine Orban ist eine gefeierte Autorin, deren Werke sich mit der Komplexität der menschlichen Psyche und vielschichtigen Beziehungen auseinandersetzen. Ihr Schreibstil wird oft als poetisch und zugleich eindringlich beschrieben, mit einer bemerkenswerten Fähigkeit, feine Nuancen von Emotionen und gesellschaftlichen Dynamiken einzufangen. Ihre Romane behandeln häufig Themen wie Identität, Erinnerung und die Suche nach Sinn in der modernen Welt. Orban's literarische Bedeutung liegt in ihrer einzigartigen Perspektive und ihrer bildhaften Sprache, die den Leser tief in ihre Geschichten hineinzieht.






Maximilien, ein Pariser Kunsthändler mittleren Alters, ist seit zehn Jahren mit der Psychoanalytikerin Clotilde verheiratet. Von einer kurzen Affäre Maximiliens abgesehen, scheint die Ehe intakt. Da glaubt der Ehemann Veränderungen im Verhalten seiner Frau festzustellen. Betrügt sie ihn mit einem Patienten? Plant sie den Ausstieg aus ihrem bourgeoisen Dasein? Oder steigert er sich, getrieben von Schuldgefühlen, nur in etwas hinein? Eine geheimnisvolle, vieldeutige Geschichte, fesselnd bis zum überraschenden Schluß.
'Ein einziger Blick, der Blick eines Unbekannten in einer Hotelbar, ließ mein ganzes Leben in Flammen aufgehen und führte mich an einen Abgrund.' Von dem Moment an geht Anna, eine normale, verheiratete junge Frau, die weder verrückt noch frustriert ist, Abend für Abend in diese Bar, in der Hoffnung, jenen Mann wiederzusehen. Eine ebenso sinnliche wie raffinierte Liebesgeschichte.
Le pays de l'absence
- 176 Seiten
- 7 Lesestunden
Elle attend avec une certaine inquiétude sa mère qui vient de Casablanca pour les fêtes de Noël. Depuis un certain temps, elle a d’étranges oublis et des manies bizarres comme prétendre que son petit singe en peluche est un animal vivant. Elle a certes toujours été capricieuse et coquette, flottante et frivole, aimant le bridge et les soirées où les hommes l’entouraient, ne connaissant rien des responsabilités, mais les symptômes qu’elle présente dès son arrivée à Paris ne permettent plus de fuir la vérité. Sa mère est atteinte de la maladie d’Alzheimer, et assez fine pour tenter d’en masquer certains traits trop voyants. Comment garder calme et patience, comment lui manifester tendresse et confiance quand son comportement est de plus en plus aberrant ? Elle ne sait plus où elle est, a perdu la notion du temps, répète en boucle les mêmes phrases puis se reprend et se rebelle. Comment vivre face à ce naufrage qui inverse les rôles ? La fille devient la mère, la mère redevient une petite fille. Mais en réalité, Christine a toujours protégé sa mère : elle n’a jamais eu d’enfance et ce qu’elle contemple n’est que le long acheminement d’une relation conflictuelle qui l’a piégée toute sa vie.Un livre pudique et émouvant sur les relations mère-fille à cet âge de la vie où tout s’inverse, où les émotions à vif replongent dans les souvenirs d’enfance, où les manquements, les défaillances maternels sont analysés en regard de ce qu’on est devenu. Récit intime autant que témoignage, il explore sans pathos, avec des mots justes et simples, l’impuissance devant un être aimé qui sombre dans l’absence.
Fringues
- 256 Seiten
- 9 Lesestunden
« Les hommes sont carnivores. Ils aiment la chair ; il faut leur en donner. Mais pas trop. J'ai besoin d'étoffes étourdissantes, de lamé, de satin, de jupons juponnés, de bas résille et de talons bobines pour embobiner. »Darling est une dingue de fringues. Une fille qui s'amuse à assortir les hommes à ses robes, une « serial shoppeuse » effrénée. Sa vie est dans ses placards, ses fringues sont sa famille, ses complices, sa philosophie.Darling est adorable et exaspérante, une fille unique en son genre (ou presque !)Christine Orban connaît les milieux de la mode, le monde et la ville comme personne. Sa vision de cet univers fermé, de ses codes, de ses clans, est irrésistible.S'habiller, c'est se dévoiler.Après avoir lu Fringues ,vous connaîtrez tout des autres.Et beaucoup de vous...
N'oublie pas d'être heureuse
- 217 Seiten
- 8 Lesestunden
Charmer, s'égarer et mourir
- 304 Seiten
- 11 Lesestunden
« C'est Marie-Antoinette que je voulais écouter. L'écouter comme si j'avais été sa confidente. Sa voix résonne dans sa correspondance, dans ses silences, dans les mots effacés et retrouvés. Je l'ai entendu. Les lignes tracées de sa main sont comme des notes sur une partition de musique. Je perçois l'incertitude de son timbre, sa sensualité, je perçois des sons graves et légers comme l'eau d'une rivière, une rivière de larmes. » Christine Orban
Le Livre de Poche: Fringues
- 256 Seiten
- 9 Lesestunden
Des fringues : des apprêts, des atours, des atouts, un étourdissement d’étoffes et d’artifices où les hommes se prennent, s’ébahissent, s’enthousiasment… Pour Darling, la vie ne serait pas, n’est pas vécue sans la robe qu’il faut, le jupon et le décolleté, l’escarpin et l’étole. Et les centaines de vêtements portés une fois recèlent sa mémoire, son identité, ses rêves. Jusqu’au jour où Darling, frivole jusqu’à l’inconscience, parviendra à se faire cet aveu : « Je veux dormir sans chemise, sans nuisette, sans pyjama, sans culotte, sans tricot, nue, nue dans ses bras. » La romancière de J’étais l’origine du monde nous entraîne dans une véritable psychanalyse, romanesque et souriante, du vêtement et de la fashion victim.



