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Marseille-Trilogie

Diese Trilogie entführt die Leser in den pulsierenden Hafen von Marseille der 1920er Jahre. Sie verfolgt die verflochtenen Leben junger Menschen, erforscht ihre Lieben, Träume und Abenteuerlust vor dem Hintergrund von Tradition und familiärer Pflicht. Die Reihe fängt meisterhaft die Essenz Südfrankreichs, seine schillernden Charaktere und die rohe Kraft menschlicher Emotionen ein, von leidenschaftlicher Romantik bis zum Stich des Verrats. Sie bietet eine zeitlose Erzählung über Lebensentscheidungen und die universelle Suche nach dem eigenen Schicksal.

Fanny
Marius
César

Empfohlene Lesereihenfolge

  1. 1
  2. 2

    Fanny

    • 218 Seiten
    • 8 Lesestunden
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    Depuis le départ de Marius, César est de plus en plus coléreux et ses amis en font les frais. Lorsque Fanny apprend qu'elle attend un enfant de Marins, le déshonneur la guette... Deux ans après Marins, Pagnol reprend dans Fanny (1931) ses personnages où il les a laissés. Les spectateurs du Théâtre de Paris retrouvent avec enthousiasme Fanny, César, Panisse, Escartefigue, monsieur Brun, Honorine, Orane Demazis et Charpin sont au rendez-vous., mais pas Raimu, fâché avec le directeur de la salle, est remplacé par Harry Baur. En 1932. Marc Allégret tourne Fanny, et Raimu reprend le rôle que Pagnol a écrit pour lui. Le succès du film Fanny est aussi grand que celui de Marins. Des années trente aux années soixante, plusieurs remakes en sont réalisés. Wallace Beery, Emil Janings, Charles Boyer ont interprété César. Maurice Chevalier, lui, a été, en 1961, un Paraisse hollywoodien. " Cet enfant, quand il est né, il pesait quatre kilos... Ceux-là, c'est sa mère qui les a faits. Maintenant, il arrive à sept... Ces trois kilos de plus, c'est trois kilos d'amour. "

    Fanny
  3. 3

    César

    • 220 Seiten
    • 8 Lesestunden

    " Le pauvre Honoré est tout préparé bien au goût du Bon Dieu d'Elzéar. Et si, en arrivant au coin d'un nuage, il se trouve en face d'un Bon Dieu à qui on ne l'a jamais présenté ? Un Bon Dieu noir, ou jaune, ou rouge ? Ou un de ces Bons Dieux habillés en guignol, comme on en voit chez l'antiquaire, ou celui qui a le gros ventre ? Ou bien celui qui a autant de bras qu'une esquinade ? Le pauvre Panisse qu'est-ce qu'il va lui dire ? En quelle langue ? Avec quels gestes ? Tu te vois, toi, déjà fatigué par ta mort, et tout vertigineux de ton voyage, en train de t'expliquer avec un Dieu qui ne te comprend pas ? Et tu as beau lui faire des prières, il te dit : " Quoi ? Comment ? Qu'est-ce que vous dites ? " Et il te le dit en chinois ? "

    César