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Patrick Besson

    1. Juni 1956
    Dis-moi pourquoi
    Mais le fleuve tuera l'homme blanc
    Der Kuß der Hetäre
    Julius und Isaac
    Die Fete
    Haldred oder die Liebe in den Zeiten der EU
    • Die 13-jährige Vic kommt in ein Alter, in dem die Jungs im Mittelpunkt stehen und erste Feten gefeiert werden. Ganz zum Leidwesen ihrer Eltern, in deren Privatleben es drunter und drüber geht. Papa Francois hat eine Affäre mit einer Patientin, auf Mama Françoise warten neue Herausforderungen in der Arbeit. Während Vic erste Liebesgefühle zum charmanten Matthieu entwickelt, droht ihre Familie zu zerbrechen.

      Die Fete
    • Christophe Parmentier, un jeune cadre d'une société pétrolière française, se rend à Brazzaville en 2007 et fait la connaissance de Blandine de Kergalec, Bernard Lemaire, sa femme Elena Petrova et leur fils. Ils se retrouvent au cœur d'un conflit terrible entre Hutus et Tutsis. Patrick Besson dépeint un Afrique étouffée par la corruption et le superstition.

      Mais le fleuve tuera l'homme blanc
    • Dis-moi pourquoi

      • 151 Seiten
      • 6 Lesestunden
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      Julie a un problème : les hommes la quittent mais ne lui disent jamais pourquoi. Lors d'un séjour chez ses parents dans les Pyrénées, elle rencontre un jeune inspecteur du fisc qui l'a quittée le jour de leurs fiançailles, lui aussi sans explications. Le lecteur les découvrira. Le portrait d'une bourgeoisie décomposée, égoïste, burlesque et complètement folle.

      Dis-moi pourquoi
    • Belle-soeur

      • 222 Seiten
      • 8 Lesestunden
      3,0(19)Abgeben

      Deux frères et une femme. Gilles, l'aîné, est un journaliste art-de-vivre, et son cadet Fabien une star de cinéma. Ils se retrouvent chaque dimanche dans la maison de leur mère, à Marolles-en-Brie. Où le comédien présente à sa famille, lors du réveillon de Noël, celle qu'il a choisie pour épouse : Annabel. Dont Gilles devient aussitôt obsédé. Mais obsédé de quoi au juste? De prendre quelque chose à son frère qui, avec ses succès, lui a volé son droit d'aînesse? D'être enfin, pour la première fois de sa vie, le préféré des deux? De déchiffrer le caractère d'Annabel, vestale au comportement trouble et aux mobiles obscurs? Belle-soeur nous entraîne dans le sillage de personnages tendres, subtils et imprévisibles entre lesquels un terrible drame finira par éclater.

      Belle-soeur
    • La mémoire de Clara

      • 213 Seiten
      • 8 Lesestunden

      La lumière d'automne l'a toujours rendue, rendue, rendue quoi ? Elle ne sait plus. Elle regarde la rue Alphonse Karr. Il y a de l'eau qui tombe du ciel comme hier. Comment s'appelle l'eau qui tombe du ciel ? Elle sait : la pluie. Elle sourit. Il y a des choses qui lui reviennent de temps en temps, ça fait plaisir. C'est comme pour l'ascenseur. Une fois sur deux, elle sonne chez un copropriétaire, croyant appeler l'ascenseur. L'autre ouvre la porte. Un homme petit et chauve. Il sourit. À moins qu'il ne soupire. C'est un peu les deux. Il la ramène doucement devant la cabine d'ascenseur. Elle s'excuse : «Ah oui, pardon.» Il dit : «De rien, Mademoiselle Bruti.» Il lui donne son nom de jeune fille, celui sous lequel elle était connue et restera dans les livres d'Histoire de la cinquième République française. Personne ne l'a jamais appelée Madame Brancusi, sauf elle-même quand elle se regardait, il y a cinquante-trois ans, dans les miroirs de l'Élysée, ancienne demeure des présidents français avant que le Palais ne soit préempté par l'émir du Qatar et ne devienne le musée national du football français, le bureau du général De Gaulle et de Georges Pompidou étant consacré aux coupes gagnées par le PSG avant son rachat par l'émirat en 2011. Mais il y a aussi des jours, de moins en moins nombreux il est vrai, où Clara, pour l'ascenseur de la rue Alphonse Karr, ne se trompe pas. Les deux portes s'ouvrent comme la caverne d'Ali Baba. Elle est aussi heureuse que si elle recevait, une nouvelle fois, une Victoire de la musique. Quant à la lumière d'automne, elle se souvient maintenant de ce que ça la rendait : heureuse. C'est le soleil qui l'attriste. Pourquoi, alors, s'est-elle installée dans cette ville du sud dont le nom va lui revenir ? Pas Cannes, car elle n'a vu personne qu'elle connaît monter des marches. Mais connaît-elle encore les gens qu'elle connaît ? C'est un mot anglais. Une glace. Ice. Avec une lettre devant, mais quelle lettre ? Il faudrait qu'elle se concentre mais elle préfère regarder la, la, elle le savait tout à l'heure : la pluie, voilà.

      La mémoire de Clara
    • Dara

      • 228 Seiten
      • 8 Lesestunden

      "Dara était ce qu'un Serbe normalement constitué peut rêver de mieux. Elle avait des épaules à couper le bois nécessaire pour tout un hiver dans les montagnes de Bosnie, un bassin assez large pour mettre au monde une dizaine d'enfants et des seins menus de coureuse de fond..." Mais Dara ne fera pas le bonheur d'un Serbe. A la victoire des partisans de Tito, au sortir de la guerre, elle fuit la Yougoslavie, pour l'Italie d'abord, puis pour Paris, où son charme d'étrangère, son incroyable accent et son farouche désir d'indépendance lui vaudront bien des aventures. Des amants, une petite fille, un mariage sur le tard, des robes excentriques nuitamment confectionnées, des souvenirs du pays natal : avec tout cela le romancier des Braban et de La Science du baiser compose une biographie imaginaire et vraie, un magnifique portrait de femme, l'histoire d'un destin dans le siècle, saluée en 1985 par le Grand Prix du roman de l'Académie française.

      Dara